Rencontrez les chercheurs

Nos chercheurs passionnés financés par FRDJ au Canada travaillent en collaboration à la fine pointe de la recherche pour guérir et améliorer la vie des personnes vivant avec le diabète de type 1 (DT1).

Chaque année, FRDJ offre du financement à des chercheurs au Canada, et dans le monde entier avec ses partenaires affiliés, dont les recherches visent à trouver des remèdes pour le diabète de type 1 (DT1) ou à améliorer la vie actuelle des personnes atteintes de la maladie.

Nos chercheurs sont passionnés par le travail qu’ils accomplissent. Ils travaillent ensemble afin d’exploiter les connaissances susceptibles de stimuler les activités de la recherche d’un traitement curatif le plus rapidement possible, et d’élaborer des feuilles de route efficaces et efficientes.

Découvrez comment nos chercheurs collaborent à la recherche d’un traitement curatif et améliorent la qualité de vie des personnes atteintes du DT1.

Thérapies de guérison

La Dre Yi-Chun Chen (C.-B.) est une boursière de recherches postdoctorales qui travaille au sein du laboratoire du Dr Bruce Verchere à l'Université de Colombie-Britannique. Elle a obtenu un doctorat en physiologie cellulaire et intégrative à la faculté de médecine de l'Université d'Indiana, aux États-Unis. Ses recherches portent sur les causes et les conséquences d'un traitement insuffisant des prohormones des îlots de Langerhans dans le diabète.
La Dre Jayne Danska (ON) est titulaire de la chaire Anne et Max Tanenbaum en médecine moléculaire, professeure à la faculté de médecine de l'Université de Toronto et scientifique principale à l’hôpital pour enfant malades (Hospital for Sick Children). Elle étudie le rôle de la communauté des microbes qui se trouvent dans l'intestin humain (le microbiome) modifiant ainsi le risque de DT1 et de sa progression. Le but ultime de son travail est d'identifier de nouvelles thérapies pour prévenir la maladie.
Le Dr Jan Dutz (C.-B.) est chercheur à l’hôpital pour enfants de la Colombie-Britannique et professeur à la faculté de médecine de l'Université de la Colombie-Britannique. Il dirige un essai clinique de phase 2/3 visant à déterminer si un médicament qui est un modificateur d’une maladie et que l’on nomme ustekinumab peut ralentir la progression du DT1
chez les jeunes adultes récemment diagnostiqués. L'ustekinumab, déjà approuvé pour traiter le psoriasis et les maladies inflammatoires de l'intestin, s'est révélé prometteur dans un essai pilote financé par FRDJ et dirigé par le docteur Dutz et son équipe.
Le Dr Timothy Kieffer (C.-B.) est professeur au département des sciences cellulaires et physiologiques et au département de chirurgie de l'Université de la Colombie-Britannique. Il a été l'un des premiers chercheurs au monde à démontrer que les cellules souches humaines peuvent être distinguées pour former des cellules productrices d'insuline sensibles au glucose. La procédure qu'il a mise au point a ouvert la voie à des essais cliniques actuellement en cours, et le Dr Kieffer et son équipe continuent de travailler au peaufinage des méthodes de remplacement cellulaire utilisant cette approche. Avec un investissement continu, de telles approches pourraient un jour réduire ou éliminer la nécessité d'injections quotidiennes d'insuline.
Le Dr Gregory Korbutt (AB) est professeur de chirurgie à l'Université de l'Alberta. Il utilise différentes techniques pour protéger les cellules dans le but de développer une source plus accessible de tissus producteurs d'insuline à transplanter chez les patients atteints de DT1. Le Dr Korbutt et son équipe utilisent leur nouvelle technologie « d’échaffaudage 3D » pour rendre les greffes d'îlots de Langerhans plus accessibles et plus fonctionnelles.
La docteure Megan Levings (C.-B.), de l'Université de la Colombie-Britannique et de l'institut de recherche de l'hôpital pour enfants de la Colombie-Britannique, est l'une des principales immunologistes du Canada. Elle est titulaire de deux subventions de FRDJ : l'une permet de collaborer à l'analyse d'échantillons provenant d'un essai clinique d'un médicament appelé ustékinumab afin de comprendre le fonctionnement du médicament chez les personnes atteintes du DT1. L'autre est une subvention des IRSC-FRDJ pour l’application de nouvelles approches afin de mieux comprendre les causes du DT1 et mettre au point des thérapies cellulaires pour guérir la maladie.
Le Dr Dan Luciani (C.-B.) est professeur agrégé à l'Université de Colombie-Britannique et chercheur au BC Children's Hospital. Grâce à une subvention d'innovation financée par FRDJ, il étudiera l'impact de la mitochondrie sur le développement des cellules bêta dérivées de cellules souches en vue d'une transplantation.
Le Dr Francis Lynn (C.-B.) est professeur agrégé à la faculté de médecine de l'Université de Colombie-Britannique et chercheur au BC Children's Hospital. L'équipe du Dr Lynn travaille à la mise au point d'une thérapie de guérison pour le DT1 en remplaçant les cellules bêta productrices d'insuline par une greffe. Son travail porte sur les mécanismes génétiques qui régulent la formation des cellules bêta des îlots à partir de cellules souches ou de cellules progénitrices.
Le Dr Hongshen Ma (C.-B.) est professeur agrégé à l'école d'ingénierie biomédicale de l'Université de Colombie-Britannique. Grâce à une subvention d'innovation financée par FRDJ, il développera une nouvelle technologie pour mesurer la capacité de sécrétion d'insuline des cellules bêta dérivées de cellules souches afin d'optimiser la fonctionnalité de ces cellules.
La recherche du Dr Patrick MacDonald (AB) vise à comprendre les facteurs qui régissent la production d’insuline par les cellules des îlots pancréatiques. Des facteurs, dont la nutrition, la génétique et l’exposition à des produits chimiques dans l’environnement, exercent une influence sur la production d’insuline humaine. Dr MacDonald et son équipe font l’inventaire de la variabilité dans la sécrétion d’insuline humaine, des fonctions des cellules des îlots pancréatiques et des profils moléculaires de plusieurs donneurs de pancréas atteints ou non de diabète afin de mieux comprendre les fonctions cellulaires des cellules productrices d’insuline dans le pancréas. Ces travaux de recherche permettront de créer une « encyclopédie » complète qui sera accessible aux chercheurs partout dans le monde afin de favoriser une meilleure compréhension de la sécrétion d’insuline humaine et du diabète.
La Dre Despoina Manousaki (QC) est endocrinologue pédiatrique au Centre de recherche du CHU Sainte-Justine et professeure agrégée à l'Université de Montréal. Les recherches de la Dre Manousaki portent sur la génétique des maladies complexes de l'enfance. Son équipe utilise des méthodes de génomique, de bio-informatique et d'épidémiologie génétique pour mieux comprendre l'architecture génétique des maladies complexes et pour appliquer ces résultats à la recherche translationnelle.
Le Dr Andras Nagy (ON) est chercheur principal au Lunenfeld-Tanenbaum Research Institute de l'hôpital Mount Sinaï à Toronto et président de recherche sur les cellules souches et la régénération au Canada. Les recherches du Dr Nagy se concentrent sur de nouvelles approches de la production de cellules souches humaines et sur la création de technologies génomiques permettant d'exploiter le potentiel des cellules souches. Ses deux technologies brevetées – FailSafe™ et la stratégie « immunocloaking » – contribuent à ses recherches en cours sur la fonctionnalité et la sécurité des greffes d'îlots de Langerhans producteurs d'insuline à partir de cellules souches humaines.
La Dre Maria Cristina Nostro (ON) est une scientifique principale à l’institut de recherches sur les cellules souches McEwen Stem Cell du Réseau universitaire de santé et professeure agrégée à l'Université de Toronto. La docteure Nostro est titulaire d'une subvention de FRDJ-IRSC qui l’aide à poursuivre avec son équipe, des travaux qui commanderont de nouvelles stratégies de transplantation et d’application de cellules souches de donneurs universels afin de mettre au point un produit supérieur de type îlots pour les personnes atteintes du DT1 qui nécessitera peu ou pas d'immunosuppression.
La Dre Amanda Oakie (ON) est boursière de recherches postdoctorales au sein du laboratoire de la Dre Cristina Nostro au McEwen Stem Cell Institute de l’University Hospital Network à Toronto. Les recherches de la Dre Oakie portent sur les méthodes permettant d'améliorer le rendement des cellules de type bêta dérivées de cellules souches pluripotentes humaines. Ses travaux portent sur différentes stratégies visant à développer les cellules de type bêta tout au long de la différenciation.
Le Dr Andrew Pepper (AB) est professeur adjoint à la Division de la recherche chirurgicale de l'Université de l'Alberta et a été formé par le Dr James Shapiro. Avec son équipe, il examine les mécanismes sous-jacents qui régissent la survie et la fonction de la cellule bêta du pancréas, dont l’objectif final est de mettre au point des thérapies de remplacement des îlots de Langerhans qui pourraient devenir un traitement universel pour un plus grand nombre de personnes atteintes du DT1.
La Dre Elizabeth Rideout (C.-B.) est professeure agrégée à l'Université de Colombie-Britannique (UBC). Le travail de la Dre Rideout porte sur l'effet du sexe biologique sur les gènes et les voies métaboliques. Son équipe appliquera ce travail au DT1 en examinant comment le dysfonctionnement des cellules bêta diffère entre les hommes et les femmes au cours de la progression du DT1. Ses recherches permettront d'élaborer des stratégies de prévention et de traitement qui tiennent compte de l'impact du sexe biologique.
Le Dr Rangarajan Sambathkumar (ON) est boursier de recherches postdoctorales au laboratoire de la Dr Nostro, qui effectue des recherches sur la greffe d'îlots de Langerhans et sur les thérapies à base de cellules souches provenant de donneurs universels. Le travail du Dr Sambathkumar porte sur l'utilisation de l'ingénierie des génomes pour améliorer les méthodes de fabrication de cellules bêta productrices d'insuline à partir de cellules souches humaines, en vue d'une thérapie de remplacement cellulaire dans le cadre du DT1.
Le Dr Robert Screaton (ON) est chercheur principal au Sunnybrook Research Institute à Toronto. Le Dr Screaton recherche des stratégies visant à maximiser la survie des cellules bêta et à identifier les gènes qui aident les cellules bêta à survivre et à fonctionner. Son travail favorise la survie des cellules bêta, non seulement dans le cadre de greffes de cellules souches, mais aussi pour prévenir la perte de cellules bêta qui est à l'origine du DT1.
Le Dr Michael Sefton (ON) est professeur à l'Institut d'ingénierie biomédicale de l'Université de Toronto. Le Dr Sefton et son équipe explorent de nouveaux moyens de transplanter des cellules productrices d'insuline chez les personnes atteintes du DT1. Leurs recherches portent sur l'ingénierie des tissus afin que les cellules productrices d'insuline greffées ne soient pas rejetées par la réponse immunitaire. Les recherches récentes du Dr Sefton portent sur la peau en tant que site de greffe de cellules d'îlots de Langerhans.
Le docteur James Shapiro (AB), chirurgien spécialiste des greffes d'organes multiples à l'Université de l'Alberta, a dirigé l'équipe qui a élaboré le protocole d'Edmonton dans les années 1990, lequel a permis des greffes d'îlots de Langerhans de longue durée chez les personnes atteintes du DT1 et a été repris par des centres cliniques du monde entier. FRDJ a soutenu les travaux du docteur Shapiro presque sans interruption depuis les années 1990. Actuellement, FRDJ appuie les travaux précliniques et les essais cliniques du docteur Shapiro, dans le cadre desquels son équipe met à l'essai d’autres approches pour modifier la maladie et remplacer les cellules afin de guérir le DT1.
Le Dr Peter Thompson (MB) est professeur agrégé au Max Rady College of Medicine de l'Université du Manitoba. Les recherches du Dr Thompson portent sur l'hétérogénéité (différences individuelles) des cellules bêta au sein d'un îlot de Langerhans et sur la manière dont ces cellules peuvent réagir différemment aux attaques du système immunitaire et aux facteurs de stress. Ses recherches permettront de déterminer comment le DT1 évolue et d'éclairer la recherche curative visant spécifiquement à préserver les cellules bêta.
Le Dr Bruce Verchere (C.-B.) est professeur aux départements de chirurgie, de pathologie et de médecine de laboratoire de l'Université de la Colombie-Britannique et chef du programme de recherche sur le diabète à l'Institut de recherche de l'Hôpital pour enfants de la Colombie-Britannique. Il est un expert mondial du diabète et de la biologie des cellules des îlots de Langerhans, et il est titulaire d'une subvention de FRDJ axée sur la mise au point d'un biomarqueur permettant de mieux prédire le DT1, sa progression et la réponse au traitement. Comme il n'existe actuellement aucun moyen facile de mesurer le fonctionnement des cellules bêta chez les personnes atteintes du DT1, ces travaux pourraient avoir une incidence majeure sur les futurs essais de nouveaux traitements du DT1.
La Dre Diane Wherrett (Ontario) est médecin membre du personnel de la division d'endocrinologie du département de pédiatrie à SickKids et professeure à l'université de Toronto. Elle est *L’ANCIENNE DIRECTRICE/DIRECTRICE* du Centre canadien de T1D TrialNet (le réseau international de dépistage des risques pour les membres de la famille de personnes atteintes de DT1 et d'essais cliniques préventifs). La Dre Wherrett dirige le Consortium de recherche sur le dépistage du diabète de type 1 des IRSC et de FRDJ (2023-2028), qui étudiera la faisabilité du dépistage du DT1 dans la population générale au Canada. Le consortium est composé de plus de 30 membres, dont des chercheurs universitaires et cliniciens, des personnes ayant une expérience vécue du DT1 et des utilisateurs de connaissances, notamment une infirmière spécialisée dans le diabète, un conseiller en génétique et un représentant du ministère de la Santé. Cette recherche permettra de déterminer les meilleures pratiques en matière de dépistage dans la population générale et de mener des études pilotes sur des approches potentielles afin d'éclairer la mise en œuvre future dans tout le Canada.  
La Dre Xiao Yu (Shirley) Wu est professeure à l'Université de Toronto, à la faculté de pharmacie Leslie Dan. Ses recherches portent sur l'utilisation de nanoparticules pour développer de nouveaux systèmes d'administration de médicaments et de nouvelles modalités de traitement. Les nanoparticules sont des particules ultrafines conçues pour surmonter les limites des barrières biologiques et délivrer des médicaments à des cellules individuelles. Sa bourse financée par FRDJ permettra de mettre au point un nouveau nanovecteur capable de livrer des médicaments ciblant les cellules des îlots de Langerhans afin de restaurer les cellules bêta endommagées.

Améliorer les vies

La Dre Shazhan Amed (C.-B.) est professeure clinique à l’UBC et endocrinologue pédiatrique au BC Children's Hospital. Ses recherches portent sur le traitement et la prévention de l'obésité et du diabète chez l'enfant. Elle s'intéresse particulièrement au développement et à l'évaluation de méthodes innovantes pour fournir les services de santé nécessaires aux enfants atteints de diabète afin d'optimiser leurs soins et de prévenir les complications à long terme de cette maladie. Sa recherche financée par FRDJ permettra d'établir un outil de santé numérique et un registre du diabète pédiatrique au Canada. Son équipe travaillera en partenariat avec les patients, les familles et les professionnels de la santé pour concevoir conjointement TrustSphere, une expérience de soins collaborative qui fournira des soins cliniques individualisés aux enfants et aux adolescents atteints du DT1.
Dr. Gillian Booth La Dre. Gillian Booth (ON), une scientifique financée FRDJ au Centre for Urban Health Solutions du Li Ka Shing Knowledge Institute de l'hôpital St. Michael de Toronto, et une équipe de chercheurs visent à améliorer le contrôle de la glycémie et l'expérience des patients en utilisant une nouvelle approche de soins virtuels pour optimiser la façon dont les soins de santé sont dispensés aux personnes atteintes du DT1.
Dr. Sonia Butalia La Dre Sonia Butalia (Alberta) est clinicienne-chercheuse au sein des départements de médecine et de sciences de la santé communautaire de l'université de Calgary. Ses recherches portent sur la transition entre les soins pédiatriques et les soins aux adultes pour les personnes atteintes de diabète. Son projet de recherche vise à mettre en œuvre un programme de transition dans cinq sites de l'Alberta qui fait appel à un coordonnateur de transition non médical et à des communications fondées sur la technologie pour promouvoir la réussite de la transition des soins et améliorer les résultats en matière de santé mentale.
Dr. Deborah Da Costa La Dre Deborah Da Costa (Québec) est professeure agrégée au département de médecine de l’université McGill, scientifique à l'Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill et psychologue au sein du McGill Comprehensive Health Improvement Program. Elle a précédemment développé une intervention réussie pour le soutien de la santé mentale pendant les étapes de la planification de la grossesse, de la grossesse et de la période postnatale. Elle va maintenant diriger une équipe orientée vers les patients afin de redéfinir le programme pour les personnes atteintes de DT1 et de DT2, et d'évaluer son impact sur les résultats en matière de santé mentale.
Le docteur Ahmad Haidar (QC) est professeur adjoint au département de génie biomédical de l'Université McGill. Avec son équipe de recherche et ses collaborateurs cliniques, il réalise des essais cliniques pour vérifier si un nouveau pancréas artificiel à deux hormones (insuline et pramlintide) peut éliminer le comptage des glucides et faciliter la gestion du DT1.
La Dre Sylvie Lesage (QC) est professeure à l'Université de Montréal et chercheuse à l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont au Québec. Le laboratoire de la Dre Lesage se concentre sur la génétique des populations de cellules du système immunitaire. Son travail actuel porte sur la composante génétique de l'insuffisance pancréatique – un manque d'enzymes nécessaires à la digestion de certains aliments – sur la gestion de la glycémie dans le cadre du DT1.
Le Dr Rémi Rabasa-Lhoret (QC) est endocrinologue, vice-président de la clinique et de la recherche clinique et professeur à l'Université de Montréal. Le Dr Rabasa-Lhoret et son équipe sont titulaires d'une subvention des IRSC-FRDJ ce qui a favorisé le l’appui de l'étude BETTER, laquelle a permis d'établir un registre des personnes atteintes d'un DT1 au Québec, de créer un module d'éducation virtuel visant à améliorer la prévention et la gestion de l'hypoglycémie, et de diriger plusieurs petits essais axés sur l'amélioration des résultats en matière d'hypoglycémie.
Le Dr Farid Mahmud (ON) est médecin membre du personnel du département d'endocrinologie de The Hospital for Sick Children et professeur agrégé de pédiatrie à l'Université de Toronto. Il dirige un essai clinique appelé ATTEMPT qui teste la capacité de la dapagliflozine, un médicament hypoglycémiant habituellement utilisé dans le diabète de type 2, à améliorer le contrôle de la glycémie et à réduire le risque futur de complications chez les adolescents atteints du DT1. En outre, ses recherches portent sur l'impact de la diversité (génétique, race, sexe, genre, revenu, soutien familial, etc.) sur la gestion du diabète chez les jeunes. En utilisant l'intelligence artificielle, son équipe vise à créer un outil pour des stratégies de traitement individualisées qui tiennent compte de la diversité des patients.
Dr. Jon McGavock Le Dr Jon McGavock (Manitoba) est professeur de pédiatrie et de santé infantile au Max Rady College of Medicine de l'université du Manitoba et chercheur au Children's Hospital Research Institute du Manitoba. Ses recherches visent à améliorer la santé mentale des adolescents atteints de DT1 grâce à des programmes d'exercices encadrés. Il évaluera l'effet de l'augmentation de l'activité physique et du mentorat entre pairs sur la détresse liée au diabète et sur les résultats sur la maladie. 
La Dre Mahla Poudineh (ON) est professeure agrégée à l'Université de Waterloo, où elle se consacre à l'ingénierie biomédicale. Le laboratoire de la Dre Poudineh développe un nouveau biocapteur capable de mesurer en continu et simultanément les cétones et le glucose dans le sang.
La Dre Marie-Eve Robinson (ON) est professeure agrégée à l'Université d'Ottawa et endocrinologue pédiatrique au Centre hospitalier pour enfants de l'est de l'Ontario. La Dre Robinson mène des recherches sur la génétique des maladies pédiatriques, tout en se concentrant sur l'impact des maladies chroniques de l'enfance sur la qualité de vie et la santé psychiatrique. Son travail récent porte sur l'évaluation de l'efficacité d'un programme d'autocompassion consciente sur l’amélioration de la détresse liée au diabète chez les jeunes atteints du DT1.
Le Dr Peter Selby (ON) est clinicien-chercheur au Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH) et professeur à l'Université de Toronto. Le Dr Selby utilise la technologie pour combiner la médecine clinique et les méthodes de santé publique afin d'étendre et de tester les interventions sanitaires. Son travail actuel utilise la technologie pour offrir un programme de soins complets basé sur le patient à de jeunes adultes atteints du DT1 qui vivent une détresse liée au diabète.
La Dre Tricia Tang (C.-B.) est psychologue clinicienne et professeure agrégée à la faculté de médecine de l'Université de la Colombie-Britannique. Ses travaux portent sur l'élaboration et l'évaluation de modèles durables et peu coûteux visant à améliorer les résultats à long terme en matière de santé liée au diabète chez les populations de patients à haut risque et médicalement mal desservies. Récemment, elle a obtenu une subvention de FRDJ pour des travaux dans la mise en œuvre d'une plateforme de soins virtuels appelée REACHOUT, conçue pour améliorer la santé mentale des personnes atteintes du DT1 dans les régions rurales et éloignées de la Colombie-Britannique.
Dr. Holly Witteman La Dre Holly Witteman (Québec) est titulaire de la Chaire de recherche du Canada en santé numérique axée sur les personnes et professeure titulaire au département de médecine familiale et d'urgence de l’Université Laval. Forte d'une expérience interdisciplinaire en ingénierie des facteurs humains et en sciences sociales, elle développe CommuniDT1. Il s'agit d'une plateforme virtuelle d'information et d’échange entre pairs dans un format de petit groupe pour les personnes qui ont des choses en commun. Holly vit personnellement avec le diabète de type 1 depuis plus de 40 ans. 

Notre dirigeante scientifique en chef, la Dre Sarah Linklater, nous aide à orienter nos priorités en matière de financement de la recherche, lesquelles façonnent la recherche sur le DT1 au Canada et dans le monde, tout en communiquant les dernières mises à jour à nos donateurs, à nos partisans et à la communauté du DT1.

Vous pouvez contribuer dans le financement du travail vital de nos chercheurs. Votre soutien nous permet d'allouer davantage de fonds à cette recherche. Donner