Notre parcours

En 1974, quatre ans après la création de FRDJ aux États-Unis, un groupe de parents déterminés à trouver une guérison pour leurs enfants vivant avec le diabète de type 1 (DT1) se sont réunis et ont créé FRDJ Canada, lançant ainsi le plus grand bailleur de fonds et le plus important défenseur de la recherche sur le DT1 au Canada.

Même si l’objectif était alors et demeure de trouver des thérapies de guérison au diabète de type 1, FRDJ a depuis contribué au financement de la recherche qui a mené à des innovations et à l’évolution des traitements qui améliorent la qualité de vie des personnes vivant avec le DT1.

Vision : Un monde sans diabète de type 1

Mission : Améliorer des vies aujourd’hui et demain en accélérant les percées révolutionnaires pour guérir, prévenir et traiter le DT1 et ses complications

Œuvrer pour un monde sans DT1

FRDJ travaille quotidiennement à changer la réalité de cette maladie pour des millions de personnes – et éviter que quiconque ait un jour à la vivre – en finançant la recherche, en faisant valoir la nécessité du soutien gouvernemental de la recherche et des nouvelles thérapies, en veillant à la commercialisation de ces dernières, et en entretenant des liens étroits avec la communauté du DT1. 

Nous devons maintenir le rythme du financement pour que les progrès ne ralentissent pas ou ne s’arrêtent pas complètement et pour parvenir à mettre un point final au DT1.  

Notre histoire

FRDJ dirige la recherche d’une guérison du DT1 depuis notre fondation aux États-Unis en 1970. À cette époque, le DT1 était communément appelé « diabète juvénile » parce que de jeunes enfants en étaient souvent atteints et la maladie était étroitement associée à eux. Au début, notre organisation portait le nom de Fondation du diabète juvénile. Plus tard, pour bien marquer comment nous voulions éradiquer la maladie, nous avons ajouté un mot et nous sommes devenus la Fondation de recherche sur le diabète juvénile. 

Nous savons aujourd’hui qu’un nombre égal d’enfants et d’adultes reçoit quotidiennement un diagnostic – quelque 110 personnes par jour. Grâce à de meilleures thérapies, que le financement de FRDJ a contribué à mettre au point et à commercialiser – les personnes vivant avec le DT1 vivent mieux, en meilleure santé et en sécurité en attendant une guérison. Il y a quelques années, nous avons donc changé notre nom pour devenir FRDJ. 

Ce changement de nom contribue à :

  • supprimer l’idée fausse que le DT1 n’est qu’une maladie infantile;
  • reconnaître que près de 85 % des personnes vivant avec la maladie ont plus de 18 ans;
  • renforcer notre engagement à financer la recherche qui améliore la vie des personnes, à tout âge et à tous les stades de la maladie.

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