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Le don de la famille Wendy Benyk et Ray Maher

Apprendre que son enfant est atteint du diabète de type 1 (DT1) modifie la trajectoire d’une famille entière. Wendy Benyk et Ray Maher en ont fait l’expérience lorsque le diagnostic de diabète de type 1 a été posé pour leur fille Brooklyn, et tout a changé.

« Qu’est-ce qui a le plus changé pour moi, en tant que mère d’une fille atteinte de DT1 ? Je suis constamment inquiète de ce qui va se passer pour la santé de ma fille. Ma fille n’a que 23 ans et est en grande forme physique, mais elle a déjà enduré tant de douleur. Ma fille ne peut même pas conduire sa voiture pendant plus d’une heure sans que ses mains deviennent incroyablement douloureuses.

Je veux que les gens comprennent que ce n’est pas seulement la lutte constante pour surveiller ce que votre enfant mange, le test de glycémie ou la surveillance continue. C’est la peur que la santé et la longévité de votre enfant changent et se détériorent chaque jour, » dit Wendy.

Wendy et Ray ont fait une contribution généreuse et importante pour accélérer le rythme de la recherche sur les DT1 en faisant un don exemplaire pour l’établissement du Centre d’excellence de FRDJ à l’université de la Colombie-Britannique.

Ce centre sera le premier du genre au Canada, parmi seulement quatre autres dans le monde. À Vancouver, des chercheurs de calibre mondial sont prêts à faire passer des thérapies à l’étape des essais cliniques qui pourraient mener à la guérison du DT1 et avoir des répercussions positives sur d’autres maladies auto-immunes

Le Centre d’excellence de FRDJ va changer la donne pour la recherche sur le DT1. Wendy et Ray ont contribué à mettre ce changement en marche.

« Une guérison serait synonyme de BONHEUR. Je serais tellement reconnaissante et soulagée que ma fille et tous les autres vivant avec le diabète de type 1 puissent vivre sans être dans la douleur et l’inquiétude constantes, » dit Wendy.

« Bien que la plupart des gens qui n’ont pas de lien avec une personne atteinte du DT1 croient que ce n’est pas une mauvaise maladie en raison de la découverte de l’insuline, qu’elle ne met pas la vie en danger et qu’elle est beaucoup moins tragique que d’autres maladies, je voudrais qu’ils sachent qu’il y a TELLEMENT de façons dont une personne atteinte du DT1 est touchée et affectée. Et chacun de ces impacts est négatif et les affecte. Et cela continue chaque jour, chaque heure, chaque minute de leur vie, » poursuit-elle.

FRDJ est très reconnaissante à Wendy, Ray et leur famille pour leur incroyable générosité. Leur soutien nous permettra d’accélérer le rythme de la recherche et de nous rapprocher de notre objectif à mettre un point final au diabète de type 1.